les livres qu'on veut partager

Dans ce topic je propose qu'on présente aux autres un roman qu'on a aimé, avec le titre, le nom de l'auteur, un résumé, les + et les - ainsi que, si possible, une photo de la couverture!
je commence! ce roman a donné le véritable prénom à mon personnage (Shmuel)

Le garçon en pyjama rayé de John Boyne



résumé du quatrième de couverture: "vous ne trouverez pas ici le résumé de ce livre, car il est important de le découvrir sans savoir de quoi il parle. On dira simplement qu'il s'agit de l'histoire du jeune Bruno qu sa curiosité va mener à une rencontre de l'autre côté d'une étrange barrière. Une de ces barrières qui séparent les hommes et qui ne devraient pas exister.

première page du roman: "Quelle ne fut pas la surprise de Brun, un après-midi, en rentrant de l'école, de trouver Maria, la bonne de la maison (la tête baissée et les yeux rivés au sol comme toujours), dans sa chambre, en train de sortir toutes ses affaires de l'armoire et de les ranger dans quatre grandes caisses en bois. Toutes ses affaires y compris celles qu'il avait cachées dans le fond et qui ne regardaient que lui.
-Qu'est-ce que vous faites? demanda-t-il le plus poliment du monde, car, bien qu'il fut contrarié de découvrir quelqu'un qui fouillait dans ses affaires, il savait pour se l'être fait maintes fois répéter par sa mre qu'il evait toujours traiter Maria avec respect et non imiter la façon dont Père lui disait: "Ôtez vos mains de mes affaires."
Maria secoua la tête et lui montra du doigt l'escaier qui se trouvait derrière lui et en haut duquel la mère de Bruno enait d'apparaître. C'était une grande femme avec de longs cheveux roux retenus sur la nuque par une sorte de filet."

les +: le personnage de Bruno et celui de Shmuel sont sympathiques et l'histoire est racontée d'une façon plaisante avec des retours en arrière.

les -: pour moi le suspens, zéro, j'avais compris dès le début et puis la façon de prononcer les mots que Bruno n'arrive pas à prononcer, c'est complètement improbable et impensable, on sent que c'est de la traduction de l'anglais...

Ca a l'air vraiment génial! je le lirai pendant les vacances!

Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol



résumé du 4ème de couverture:

Ce roman se passe à Paris.
Et pourtant on y croise des crocodiles.
Ce roman parle des hommes.
Et des femmes. Celles que nous sommes,
celles que nous voudrions être,
celles que nous ne serons jamais,
celles que nous deviendrons peut-être.
Ce roman est l'histoire d'un mensonge.
Mais aussi une histoire d'amours,
d'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.
Ce roman, c'est la vie.

Ce roman a obtenu le Prix Maison de la Presse en 2006.

première page du roman:

Joséphine poussa un cri et lâcha l'éplucheur. Le couteau avait dérapé sur la pomme de terre et entaillé largement la peau à la naissance du poignet. Du sang, du sang partout. Elle regarda les veines bleues, l'estafilade rouge, le blanc de la cuvette de l'évier, l'égoutoir en plastique jaune où reposaient, blanches et luisantes, les pommes de terre épluchées. Les gouttes de sang tombaient une à une, éclaboussant le revêtement blanc. Elle appuya ses mains de chaque côté de l'évier et se mit à pleurer.
Elle avait besoin de pleurer. Elle ne savait pas pourquoi. Elle avait trop de bonnes raisons. Celle-là ferait l'affaire. Elle chercha des yeux un torchon, s'en empara et l'appliqua en garrot sur sa blessure. Je vais devenir fontaine, fontaine de larmes, fontaine de sang, fontaine de soupirs, je vais me laisser mourir.
C'était une solution. Se laisser mourir, sans rien dire.
S'éteindre comme une lampe qui diminue.
Se laisser mourir toute droite au dessus de l'évier. On ne meurt pas toute droite, rectifia-t-elle aussitôt, on meurt allongée ou agenouillée, la tête dans le four ou dans sa baignoire. Ele avait lu dans un journal que le suicide le plus commun chez les femmes était la défenestration. La pendaison, pour les hommes. Sauter par la fenêtre? Elle ne pourrait jamais.

Les +: Malgré ce début plutôt désespéré, le reste du roman est un combat pour trouver le courage d'affronter la vie, de vivre vraiment, de s'en sortir. C'est plein d'espoir.
Les personnages sont fabuleusement attachants et l'histoire est très bien menée sans passages longs. On voit la lente évolution et tout ne se termine pas en happy end, l'évolution est lente, comme dans la vie. Il y a du + et du - dans la vie des personnages. Je n'ai lâché le livre que quand je l'ai eu fini!

Les -: Sincèrement, je ne vois pas!

Et la suite: La valse lente des tortues (toujours de Katherine Pancol)



résumé 4ème de couverture:

Ce livre est une bourrasque de vie...
Un baiser brûlant du seul qu'on ne doit pas embrasser.
Deux bras qui enlacent ou qui tuent.
Un homme inquiétant, mais si charmant.
Une femme qui tremble et espère ardemment.
Un homme qui ment si savamment.
Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour.
Des adolescents plus avertis que les grands...
Un homme qui joue les revenants.
Un père, là-haut, dans les étoiles,
qui murmure à l'oreille de sa fille...
Un chien si laid qu'on s'écarte sur son passage.
Des personnages qui avancent obstinément comme des petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement dans un monde trop rapide, trop violent...

1ère page:

-Je viens chercher un paquet, déclara Joséphine Cortès en s'approchant du guichet de la poste, rue de Longchamp, dans le seizième arrondissement de Paris.
-France ou étranger?
-Je ne sais pas.
-A quel nom?
-Joséphine Cortès... C.O.R.T.E.S...
-Vous avez l'avis de passage?

Joséphine Cortès tendit l'imprimé jaune "vous avez reçu un colis".

-Une pièce d'identité? demanda, d'un ton las, l'employée, une fausse blonde au teint brouillé qui clignait des yeux dans le vide.

Joséphine sortit sa carte d'identité et la posa sous les yeux de la préposée qui avait entamé une conversation sur un nouveau régime chou rouge, radis noir avec une collègue. L'employée s'empara de la carte, souleva une fesse puis une autre et descendit du tabouret en se frottant les reins.
Elle se dandina vers un couloir et disparut. L'aiguille noire des minutes progressait sur le cadran blanc de l'horloge. Joséphine eut un sourire embarrassé pour la file d'attente qui s'allongeait derrière elle.

Les +: digne succeseur du 1er! On retrouve des personnages qui continuent d'évoluer et qu'on a plaisir à retrouver! Une très belle énigme, du suspens, du rire, des larmes et plusieurs passages vraiment stressants!

Les -: encore une fois, je ne vois pas!

Le magasin des suicides, Jean Teulé



Le 4ème de couverture:

Vous avez raté votre vie? Avec nous, vous réussirez votre mort!

Imaginez un magasin où l'on vend depuis dix générations tous les ingrédients possibles pour se suicider. Cette petite entreprise familiale prospère dans la trisesse et l'humeur sombre jusqu'au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable: la joie de vivre...

1ère page:

C'est un petit magasin où n'entre jamais un rayon rose et gai. Son unique fenêtre, à gauche de la porte d'entrée, est masquée par des cônes en papier, des boîtes en carton empilées. Une ardoise pend à la crémone.
Accrochés au plafond, des tubes au néon éclairent une dame âgée qui s'approche d'un bébé dans un landau gris:

-Oh, il sourit!

Une autre femme plus jeune - la commerçante-, assise près de la fenêtre et face à la caisse enregistreuse où elle fait ses comptes, s'insurge:

-Comment ça, mon fils sourit? Mais non,il ne sourit pas. Ce doit être un pli de la bouche. Pourquoi il sourirait?

Puis elle reprend ses calculs pendant que la cliente âgée contourne la voiture d'enfant à la capote relevée. Sa canne lui donne l'allure et le pas maladroits. De ses yeux mortels- obscurs et plaintifs- à travers le voile de sa cataracte, elle insiste:

-On dirait pourtant qu'il sourit.

Les +: une vision très acide de la société, du futur aussi. Un formidable roman sur l'espoir et la joie de vivre. Ce roman donne constament le sourire.

Le -: La fin! Elle est complètement nulle et casse tout le message du roman! J'ai rarement vu une fin aussi mauvaise! Dommage parce que le reste du roman est sublime!

Moi j'aimerais parler de Le Cycle de l'Assassin Royal de Robin Hobb. Vu que je n'ai pas le livre avec moi, je vais devoir vous mettre un résumé internet (incapable de le résumer de façon objective). Ce sont les livres qui sont partout dans ma vie, et il y a un peu de Fitz dans chacun de mes personages, et Anushka n'échape certainement pas à la règle!

D'abord, il est important de savoir qu'en français ce sont 13 livres (6 en anglais... en fait deux trilogies, allez comprendre) Le tome 1 est L'Aprenti Assassin.



Voici le résumé que j'ai trouvé sur le site www.zazieweb.fr

"De : Sarabé
En quatrième de couverture, l’éditeur compare le style de Robin Hobb à celui de Shakespeare et de Melville… Hum. Drôle d’idée. J’en suis encore à me demander ce qui peut bien justifier ces rapprochements, mais, pour le reste, je me suis laissée agréablement emportée cet été par la lecture des six tomes de "l’Assassin Royal", épopée fantasy à succès agréablement focalisée sur l’aspect psychologique des personnages. Les héros ont des faiblesses, les amours sont périssables et les pouvoirs magiques ne vont pas sans sérieux effets secondaires : la romancière américaine évite donc de grands écueils de mièvrerie, et c’est tant mieux. Qu’on se rassure, il y a tout de même de l’aventure et des méchants sans scrupules… Et même si on y trouve des longueurs, des répétitions ou des rebondissements prévisibles, l’histoire est suffisamment bien menée pour être haletante.
Le sixième tome, qui clôt l’histoire – les trois tomes suivants constituant une suite autonome – confirme au bout du compte le pessimisme toujours sous-jacent de cette saga : si une guerre est gagnée, une autre équivalente lui succèdera encore, chaque paix contenant le germe du futur conflit. Serait-ce pour cette raison que l’auteur semble n’avoir alors qu’une hâte, terminer son histoire rapidement, quitte à bâcler les derniers éclaircissements et dénouements – qu’elle avait pourtant préparés avec patience ? Dommage tout de même, c’est frustrant. Paradoxe : un peu long et trop court !"


Voici comment commence le le premier livre du deuxième cycle (plus pour le style)

Il arriva par un jour pluvieux de la fin du printemps et déposa le vaste monde sur le seuil de ma porte. J'avais trente-cinq ans cette année-là. À vingt ans, j'aurais considéré cet âge comme le dernier pas avant le gâtisme, mais désormais je n'y voyais plus ni jeunesse ni vieillesse, seulement un état d'équilibre provisoire entre les deux ; j'avais perdu mon inexpérience d'autrefois mais je ne pouvais pas encore me targuer des excentricités d'un âge avancé. Par bien des côtés, je ne savais plus ce que je pensais de moi-même ; parfois, j'avais l'impression que ma vie disparaissait lentement derrière moi, s'effaçait comme des empreintes de pas sous la pluie, jusqu'à me convaincre peut-être que j'avais toujours été cet homme taciturne qui menait une existence banale dans une chaumière entre mer et forêt.

Les +: Je ne trouve pas ces romans pessimistes, pour moi on parle avec justesse de l'homme et de ses faiblesses mais aussi de ses qualités.
D'après moi on touche à des sujets universels et intemporels. J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps, j'ai ri à gorge déployée, j'ai eu la peur de ma vie. On s'attache à chacun des personages et on s'enfonce dans l'histoire avec plaisir et facilité.

Les -: D'aucuns dirraient que c'est trop long... Pas moi. On ne peut pas narrer une vie aussi pleine sans passages un peu plus calmes. Chaque morceau est un délice.

je ne connaissais pas du tout... je ne sais pas si je le lirai un jour mais en tous cas belle présentation!!

Il faut aimer l'héroïc fantasy... Mais je ne jure vraiment que par cette série.

Je viens de me rendre compte que je n'ai pas vraiment fait de résumer. Donc pour faire de l'ultra bref, on suit un batard royal (Fitz) qui jure de servir le roi (son grand-père puis son oncle) et met TOUTE sa vie au service de sa famille en agissant dans l'ombre, entre autre en tant qu'assassin et qu'espion. C'est un héro étonnemment humain et on évolue avec lui. Magistral.

Promis, j'arrête là^^

C'est vrai que ça a l'air génial! Dès les premières lignes, on sourit déjà!

Comme un forum sans l'un de mes livres préférés est impossible, je vais vous parler comme de bien entendu des Eygletière, de Henri Troyat. C'est une série de trois livres qui continuent l'histoire d'une famille: Les Eygletière.

(Je suis super heureuse, j'ai trouvé les photos de la collection que j'ai!)

****** ******

Respectivement, le 1er, le 2ème et le 3ème tome.

Sur le premier, c'est le personnage du père qui est représenté, sur le deuxième, je pense que c'est soit Carole (la belle mère) soit Françoise (la fille) et sur le troisième c'est Jean François.

4ème de couverture: Un appartement vaste et cossu, en plein coeur de Paris: tentures de soie, meubles Louis XV, deux domestiques. Philippe Eygletière, avocat d'affaires, divorcé et remarié avec une femme ravissante, qui n'a que dix ans de plus que l'aîné de ses fils.
Trois grands enfants qui font leurs études.
Leur tante Madeleine, antiquaire en Normandie, qui étouffe d'amour pour eux, et accourt dès qu'ils appellent à l'aide.
Tout cela semble respectable, solide, rassurant.
Mais le regard du romancier perce les murs comme des parois de verre. Sous les apparences banales, il découvre les fissures d'un ordre social égoïste qui ne survit que par l'hypocrisie et le compromis, le drame des jeunes auquel répond le désarroi des aînés, la violence des passions qui feront voler en éclats les tabous de la morale bourgeoise.

1ère page: La pluie ruisselait sur les vitres. Toutes les gouttières chantaient. De la rue déserte venait une lumière grise. A dix heures du matin, il semblait que la nuit fût sur le point de descendre. La corne du marchand de poisson rententit au loin. Madeleine alluma une lampe sur la table. Par mauvais temps, le village était vraiment sinistre. Pourtant, elle n'avait aucune envie d'aller à Paris. D'ailleurs, Françoise ne le lui demandait pas expressément dans sa lettre. Une drôle de lettre, écrite, sans doute, dans un moment de désarroi. Elle l'avait reçue ce matin et ne cessait de la retourner dans sa tête. Ces phrases tronquées,ces épithètes vagues butant sur des points de suspension... Françoise avait-elle une réel souci qu'elle n'osait confier au papier ou était-elle triste sans cause, comme on l'est souvent à son âge? De toute façon, après ce qui s'était passé le mois dernier, Madeleine était décidée à ne pas retourner rue Bonaparte sans y avoir été invitée par son frère. Puisqu'il avait su la prier de ne plus se mêler des affaires de la famille, elle attendrait qu'il reconnût son erreur pour renouer avec lui.

Les +: une histoire bien menée, sans longueurs, des personnages très attachants, tous!

Les -: j'aurais aimé plus de volumes, à la fin du 3, j'en aurais pleuré de désespoir! Je ne voulais pas quiter des personnages si fabuleux!

La nostalgie de l'ange, Alice sebold

A LIRE impérativement si vous n'avez pas encore lu ce chef d'oeuvre! On rit aux éclats, on pleure toutes les larmes de son corps... Bref, un bijou. Unlivre exceptionnel, l'un de ceux qui m'a le plus marquée.



4ème de couverture: Nom de famille: Salmon, saumon comme le poisson; prénom: Susie. Assassinée à l'âge de 14 ans,le 6 décembre 1976.

Mais l'histoire de Susie ne s'arrête pas là. C'est même elle qui nous racontera la suite. Car après sa mort, Susie se retrouve au ciel. C'est "son ciel à elle" un ciel qui resemble aux besoins et aux désirs d'une jeune fille de 14 ans. De là haut, elle peut voir ce qui se passe sur terre. Elle observe les conséquences de sa mort: sur sa famille, qui se déchire, sur ses proches qui ont du mal à comprendre. Le chagrin et la colère, mais aussi la force et le courage des siens. Et, tout doucement, Susie doit apprendre à lâcher prise de sa vie terrestre...

Extraits: "Ca te dirait d'aller au zoo cette semaine?" a demandé mon père. Il se détestait. Détestait l'appât et la tromperie. Mais comment pouvait-il dire à son fils que sa grande soeur gisait peut-être quelque part en petits morceaux?
Ayant entendu le mot zoo et tout ce que ça évoquait - en l'occurence surtout les singes! -Buckley a avancé un jour de plus sur le chemin ondulant de l'oubli. L'ombre des années n'était pas si grande sur son petit corps. Il savait que j'étais partie, mais les gens qui partaient revenaient toujours."

[Holiday, le chien de la famille de Susie vient de mourir dès années après elle et il "monte" dans le "paradis" de Susie: ce passage me fait toujours atrocement fondre en larmes!] "J'attendis qu'il me renifle, fort désireuse de savoir si ici, de l'autre côté,j'étais encore la petite fille à côté de qui il avait dormi. Je n'ai pas eu à attendre longtemps: il était si heureux de me voir qu'il me renversa."

Les +: l'hisoire, les personnaes, tout, en somme! Et un suspens terrible!

Les - : pas de -!

je suis d'accord, ce roman est magnifique! tellement triste, il marque à vie, c'est un de ces livres qu'on ne peut que regretter de ne pas avoir lu plus tôt!

une fois n'est pas coutume je voudrais vous parler d'une bande dessinée que j'aime énormément.

Jo de Derib



mon résumé: Jo est une adolescente de ce qu'on appelle la jeunesse dorée. Un jour elle rencontre Laurent qui joue dans un groupe de rock et qui traine avec lui un lourd secret. Ils tombent très amoureux l'un de l'autre et commencent une relation lorsque Jo apprend qu'elle est séropositive...

mon avis: moi qui ne suis pas très bandes dessinées, j'ai tout de suite craqué sur celle là que j'ai retrouvée tout à fait par hasard dans une brocante et que j'ai donc pu relire. Je l'avais lue chez Armelle (elle me l'avait vivement conseillée) et depuis elle ne me sortait pas de la tête. C'est vraiment un très très bon bouquin qui parle du sida sans pudeur, sans stigmatiser non plus et qui répond à beaucoup de questions au fil de l'histoire. Un manuel de prévention contre le sida sous la forme d'une histoire magnifique avec des personnages que l'on sent vivre.

je ne suis pas très bd non plus mais si tu dis qu'elle est bien, j'essayerai de la lire!

en ce moment je n'ai pas vraiment le temps de lire, avec le mémoire et tout ça, mais je continue "Things I want my daughters to know" d'Elizabeth Noble, après avoir lu "Shutter island" de Dennis Lehane (qui a aussi fait le mémorable gone baby gone et le génial mystic river, tous les deux aussi adaptés au cinéma).
Shutter island je le recommande vivement, il est très fort, très bien écrit et parfois même terrifiant! personnellement je n'ai pas pu décrocher à partir d'un certain moment, je devais lire la fin, je me suis couchée à 2h30 du matin ce jour là, c'est dire! L'histoire en gros commence comme ça: deux marshals sont envoyés sur shutter island, une île sur laquelle il y a un "institut pour malades mentaux dangereux". Une des patientes a disparu alors que la porte était fermée de l'extérieur...
ce livre m'a donné envie de lire les autres (je n'avais fait que voir mystic river et gone baby gone, mais je suppose que les romans doivent valoir leur pesant d'or, tout comme shutter island que je n'ai pas encore vu en film).



: c'est celui que j'ai!

je veux le voir aussi celui-là, et la rafle quand il va sortir en dvd!

Je vais vous présenter un livre que je suis en train de lire, c'est la suite de deux livres que j'ai déjà présentés ici: Les yeux jaunes des crocodiles et la valse lente des tortues.

Titre: Les écureils de Central Park sont tristes le lundi, Katherine Pancol

Histoire: c'est la suite des aventures des personnages des deux précédents, et franchement, ça se lit avec autant de bonheur et de frénésie.

Résumé derrière le livre, présenté et coloré comme sur l'original:

Souvent la vie s'amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro
ou tombé d'un rideau. Embusqué dans un mot,
un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie
de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent
des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant,
ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser
pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps,
on découvre des diamants dans une main tendue...
Et la vie n'est plus jamais triste.
Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi...


848 pages en grande édition. Couverture pas encore disponible, violette avec les lettres du titre de toutes les couleurs.

le titre est sympa même si je n'ai aucune envie de lire le roman! je ne sais pas pourquoi, c'est idiot, mais je me dis que ça ne me plaira pas!

je ne peux pas t'affirmer que ça te plaira, mais moi en tous cas j'ai du mal à décrocher! et je l'ai acheté dès que je l'ai vu, sans même réfléchir! c'est du top niveau! après, chacun ses goûts!

moi j'aime stephen king. Plein d'autres choses aussi, mais je ne sais pas, ça ne m'attire pas.

mais tu peux toujours essayer! regarde, moi, le garçon en pyjama rayé!

tu l'as vu en film!^^ ça t'a pris une heure et demie, tes bouquins, y en a pour des heures de lecture! et puis en ce moment, je suis sur Duma Key de Stephen King. Et ça je peux te dire que c'est du bon!^^

oui, si tu veux! n'empêche que katerine Pancol, c'est génial! en tous cas les yeux jaunes des crocodiles et les suivants!